Les membres de l’équipe CANO se sont réunis le 27 janvier 2025 pour faire le bilan de la première année du projet et planifier les prochaines étapes. L’année à venir s’annonce intense, mais l’engagement et l’enthousiasme des chercheuses et des chercheurs (Marie Larocque, Julie Thériault, Paul Del Giorgio et Alejandro Di Luca de l’UQAM, Audrey Maheu de l’UQO, Julie Talbot de l’Université de Montréal, Daniel Nadeau, René Therrien et François Anctil de l’Université Laval, Manuel Helbig et Lauren Somers de l’Université Dalhousie), ainsi que des agentes et agents de recherche (Marjolaine Roux, Ève Bigras et Hadleigh Thompson de l’UQAM, Gabriel Bastien-Beaudet de l’UQO) témoignent de la motivation collective à faire avancer la recherche.
Cette deuxième année sera très importante pour le projet CANO puisque les premiers instruments seront mis en place. Des campagnes de terrain sont prévues pour planifier et installer les équipements scientifiques sur l’ensemble des observatoires, qui s’étendent de l’Outaouais (QC) à la Nouvelle-Écosse (voir figure). Bien que l’uniformisation des protocoles soit une priorité, chaque site présente des défis spécifiques nécessitant une adaptation de l’instrumentation.
La complémentarité des expertises au sein de l’équipe CANO est un atout majeur pour aborder les problématiques sous plusieurs angles et développer des solutions innovantes. Cette rencontre a mis en lumière l’importance de la multidisciplinarité, notamment dans l’optimisation des procédures d’instrumentation, la gestion des données et la mise en place de projets complémentaires. Restez à l’affût pour suivre l’évolution des travaux et les prochaines avancées du projet CANO!
Texte rédigé par Marjolaine Roux, agente de recherche et coordonnatrice du projet CANO